La presse aime DETROITERS

⭐️⭐️⭐️⭐️
“Detroiters”, le documentaire qui donne la parole aux laissés-pour-compte (…) des images d’aujourd’hui qui semblent réveiller des fantômes du passé, dont la marque du passage sur terre n’a jamais disparu.
(Les Inrockuptibles)

⭐️⭐️⭐️
Le film d’Andreï Schtakleff joue sur ce contraste entre quartiers ruinés et dynamisme des habitants noirs, qui non seulement conservent la mémoire du lieu (et de son capitalisme féroce), mais réinventent un futur postindustriel. L’Amérique est-elle un empire qui se disloque et se restructure ? Faut voir. On voit : c’est fascinant.
(L’Obs)

⭐️⭐️⭐️
En donnant essentiellement la parole à des Afro-Américains, le réalisateur raconte le passage d’une ségrégation à une autre, de l’exploitation à la gentrification.
(Le Figaro)

⭐️⭐️⭐️
“Ils nous déplacent de plus en plus loin, ils nous enlèvent de l’histoire, et on marche tête baissée”. C’est contre cet oubli et ce sentiment de honte que se dresse Andreï Schtakleff dans Detroiters.
(Le Monde)

⭐️⭐️⭐️
Automne, hiver, printemps : sous l’épais manteau de neige, le cinéaste finit par trouver ici et là quelques bourgeons (…) À la charnière des générations, Detroiters guette les signes de relève.
(Les Cahiers du Cinéma)

⭐️⭐️⭐️
Au plus près des habitants (…) une plongée fantomatique qui nous laisse une drôle d’impression : à la fois confiante dans la renaissance de la ville et nauséeuse face à l’effondrement d’un système à bout de souffle.
(Télérama)

⭐️⭐️⭐️
Un beau portrait
(les Fiches du cinéma)

⭐️⭐️⭐️
Des images fascinantes de clips des groupes phares de la Motown
(le Parisien)

À ÉCOUTER

Un film distribué par
THE DARK et À Vif cinémas

Presse :
Makna Presse / Chloé Lorenzi

Programmation :
Marie Demart

En partenariat avec

Ce film a bénéficié du Fonds d’Aide à l’Innovation Audiovisuelle du Centre national du cinéma et de l’image animée